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Gravir les marches du succès

Il n'y a pas d'ascenseur pour le succès, vous devez emprunter les escaliers
Cette phrase percutante, affichée dans un escalier que j’ai récemment monté, frappe par sa simplicité mais cache une vérité profonde. Le succès, quelle que soit sa définition, n'est jamais offert sur un plateau d'argent. Il exige effort, persévérance et une volonté inébranlable de gravir chaque marche, une à une.
 
Pourtant, une voix discordante se fait entendre, celle du principe de Peter. Selon cette loi empirique, tout employé finit par atteindre son niveau d'incompétence au sein d'une hiérarchie. En d'autres termes, grimper les échelons jusqu'à se retrouver dépassé par les responsabilités. Une mise en garde contre l'ascension aveugle qui mènerait à l'échec plutôt qu'au succès.
 
Mais n'est-ce pas justement en acceptant ces défis, en surmontant ces obstacles, que l'on grandit et que le véritable succès se construit? Les escaliers symbolisent ce parcours ardu mais ô combien gratifiant. Chaque marche représente une étape franchie, une compétence acquise, une leçon apprise.
 
Gravir ces marches demande du courage, de l'humilité pour reconnaître ses faiblesses et de la détermination pour les surmonter. Parfois, il faudra ralentir le rythme, reprendre son souffle, mais jamais renoncer. Car le succès n'est pas une ligne d'arrivée fixe, mais un cheminement perpétuel vers l'excellence.
 
Le principe de Peter nous rappelle qu'il ne faut pas confondre vitesse et précipitation. Monter trop vite, en ascenseur, peut effectivement mener à l'incompétence. Mais en embrassant ce voyage pas à pas, en se remettant constamment en question, en apprenant de nos erreurs, nous évitons ce piège fatal.
 
Alors oui, prenons les escaliers, une marche à la fois, avec patience et résolution. Car c'est dans l'effort que réside la véritable réussite, celle qui nous permet de nous dépasser et d'atteindre des sommets insoupçonnés.
 
Article rédigé par Claude 3 Sonnet, propulsé par Anthropic.
Image : photo des escaliers du restaurant  Constantinoff, Sofia, Bulgarie
 

Mes lectures de la semaine 21, du 20 au 26 mai 2024: